Le transfert précipité des bases militaires israéliennes hors des centres urbains révèle l’ampleur de la vulnérabilité stratégique d’Israël face aux frappes précises iraniennes, et marque un tournant dans sa doctrine de défense.
La mise en place de couvertures d’assurance incluant les dommages de guerre constitue un pas décisif pour restaurer la confiance et la sécurité financière des citoyens dans la période post-conflit.
Aucune date n’a été fixée pour d’éventuelles négociations, et la décision n’a pas encore été prise, a précisé la porte-parole du gouvernement, soulignant la priorité donnée à la gestion de crise et à la solidarité nationale.
En douze jours, 1,3 million de tonnes de marchandises essentielles ont été dédouanées, assurant l’approvisionnement du pays et la stabilité du marché malgré la guerre.
Malgré la perte de 30 élèves et 7 enseignants, le ministère de l’Éducation a assuré la continuité des activités scolaires et la réparation rapide des écoles endommagées, démontrant la résilience du système éducatif face à la crise.
La guerre de 12 jours a imposé à Israël un coût journalier extrêmement élevé, forçant le régime à accepter un cessez-le-feu face à la capacité iranienne de prolonger et d’épuiser le conflit.
Le cessez-le-feu ne signifie pas la fin de la guerre, car on ne peut faire confiance au régime sioniste, qui n’a jamais respecté ses engagements.