Le chef de la diplomatie iranienne répond aux remarques de l’AIEA sur le nucléaire
Ceux qui profèrent de telles menaces doivent savoir que répéter une expérience qui a échoué n'aura pour eux d'autre résultat qu'un nouvel échec.
Ceux qui profèrent de telles menaces doivent savoir que répéter une expérience qui a échoué n'aura pour eux d'autre résultat qu'un nouvel échec.
Les États-Unis menacent de couper leur financement à l’AIEA si la résolution iranienne visant à protéger les installations nucléaires sous supervision internationale est adoptée, utilisant ce levier majeur pour bloquer une initiative qu’ils considèrent politiquement instrumentalisée.
Lors d’une rencontre au Caire, l’Iran et l’Égypte affirment leur volonté de renforcer leur coopération et de définir un nouveau cadre d’interaction avec l’AIEA, face aux agressions illégales des États-Unis et d’Israël.
L’ambassadeur iranien auprès de l’ONU dénonce les attaques israéliennes et américaines contre ses installations nucléaires comme une violation grave du droit international et un danger pour la paix mondiale.
Le gouvernement iranien est tenu de suspendre immédiatement toute coopération avec l’AIEA jusqu’à ce que la sécurité des installations nucléaires et des scientifiques soit assurée, conformément à la loi adoptée par le Parlement.
Lorsque Rafael Grossi a préparé le terrain avec ses actions trompeuses et ses rapports mensongers, il doit en répondre, même si cette question relève des affaires internationales.
Israël n’a fourni aucun argument convaincant justifiant son agression militaire contre un pays souverain. Les actions de l’Iran en légitime défense, conformément à l’article 51 de la Charte des Nations Unies, sont parfaitement compréhensibles.
Lors du Conseil des gouverneurs de l’AIEA, les États-Unis ont renouvelé leurs accusations contre l’Iran, dénonçant une accélération suspecte de son programme nucléaire, tandis que le cadre légal international rappelle le droit de l’Iran à l’enrichissement pacifique. Un face-à-face diplomatique où se mêlent enjeux techniques, politiques et stratégiques.
Le ministre iranien des Affaires étrangères a critiqué l’action provocatrice des États-Unis et de trois pays européens visant à présenter une résolution anti-iranienne à l’AIEA, soulignant que toute décision hâtive et nuisible sera confrontée à une réponse appropriée de la part de l’Iran, et que la responsabilité des conséquences incombe à ceux qui politisent cette…
Rafael Grossi, directeur général de l’AIEA, a déclaré : "L’Iran possède les pièces du puzzle nucléaire et pourrait un jour les assembler. Il ne suffit pas de dire que l’on ne possède pas l’arme nucléaire, il faut que nous puissions vérifier."