Hojjatoleslam Ali Mozaffari, lors d’un congrès sur les droits de l’homme américain, a évoqué la possibilité d’un procès en absence contre Rafael Grossi, le directeur général de l’AIEA. Selon lui, cette question doit être examinée dans le cadre des affaires internationales, car Grossi, par ses actions trompeuses et ses rapports mensongers, a préparé le terrain pour les crimes commis contre l’Iran. Mozaffari a souligné que les États-Unis, en tant que régime dominateur, ne tolèrent aucun progrès scientifique, économique ou militaire qui ne soit pas aligné sur leurs intérêts.

Il a rappelé que le programme nucléaire et les avancées de l’Iran depuis la Révolution islamique sont perçus comme une menace par ce régime, qui cherche à discréditer la République islamique sur la scène internationale en utilisant des accusations infondées, notamment sur la violation des droits de l’homme et la fabrication d’armes nucléaires. Ces prétextes ont servi à justifier l’agression de 12 jours qui a causé la mort de nombreux commandants, scientifiques et civils iraniens, ainsi que des dégâts matériels importants.

Mozaffari a également évoqué les efforts déployés par le système judiciaire iranien, notamment au sein de la vice-procureure aux affaires internationales, pour documenter ces crimes et préparer des plaintes internationales visant à obtenir réparation pour les dommages matériels et moraux subis. Il a toutefois reconnu que les institutions internationales ont rarement agi efficacement en faveur des opprimés, mais a insisté sur la nécessité d’accomplir ce devoir juridique.

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