
Niavaran redonne vie à la tragédie de Kerbala
Le centre culturel Niavaran célèbre l’art du Ta’ziyeh avec cinq représentations en plein air.
Le centre culturel Niavaran célèbre l’art du Ta’ziyeh avec cinq représentations en plein air.
Bahman Kiarostami revient sur son documentaire « Tabâki » : une réflexion sur le « simulacre de la tristesse » dans les rituels chiites.
Azadaran-é Bayal est écrit par l'écrivain et le dramaturge iranien Gholam Hossein Sa'edi en 1964. Dans cet ouvrage, Sa'edi met en scène les habitants d'un village retiré, envahis de superstition et de mort.
Le musicien iranien Hamidreza Nasrollahi a remporté la médaille de bronze aux Global Music Awards 2025 pour son morceau instrumental intitulé Manifestation.
Le court métrage iranien Ra'na, écrit et réalisé par Ahmad Monajemi et produit par Mohammad Hassan Sa’adat Hindi, poursuit son parcours international avec succès.
Le documentaire iranien Lameh a été sélectionné pour le Festival ethnographique des Journées d’Ilinden en Macédoine du Nord.
Une série d’expositions et d’événements artistiques autour des rituels de deuil et des thèmes spirituels de Kerbala se tiendra à la Tour Azadi sous le titre « En Deuil du Cyprès ».
Le mot Ta'ziyeh signifie la patience, la consolation. Le ta'ziyeh est un spectacle religieux, accompagné de chants et de poésie épique, qui commémore la mort tragique de l'Imam Hussein et ses compagnons.
Le programme spécial « Kheimeh Honar » (La Tente de l’Art) se tient lors des nuits du mois de Mouharram sur l’esplanade culturelle Rudaki à Téhéran, avec une série d’événements artistiques variés.
Le livre « Le Vieil Homme et Houri », publié par les éditions Beh Nashr et écrit par Akbar Sahraei, est un récit inspiré des instants de la guerre Iran-Irak, qui aborde ce conflit sous divers points de vue.