
« Kheimeh Honar » : quand l’art pleure l’Achoura
Le programme spécial « Kheimeh Honar » (La Tente de l’Art) se tient lors des nuits du mois de Mouharram sur l’esplanade culturelle Rudaki à Téhéran, avec une série d’événements artistiques variés.
Le programme spécial « Kheimeh Honar » (La Tente de l’Art) se tient lors des nuits du mois de Mouharram sur l’esplanade culturelle Rudaki à Téhéran, avec une série d’événements artistiques variés.
Le livre « Le Vieil Homme et Houri », publié par les éditions Beh Nashr et écrit par Akbar Sahraei, est un récit inspiré des instants de la guerre Iran-Irak, qui aborde ce conflit sous divers points de vue.
L’exposition ‘Pooze-band’ rassemble 82 œuvres satiriques qui dénoncent avec force l’agression contre l’Iran, incarnant la résistance artistique face aux défis géopolitiques.
‘Asrar-e Maktoum’ offre une analyse approfondie des décisions stratégiques et des réalités du terrain durant la guerre Iran-Irak, répondant aux controverses et éclairant la vision des principaux acteurs de l’époque.
Rostam est un héros très connu dans le Livre des Rois de Ferdowsi. Sa naissance ainsi que sa vie furent pleines d’épreuves. L’une de ses épreuves les plus célèbres fut le Haft Khân, dans lequel Rostam doit franchir sept étapes dangereuses afin de sauver le roi de Perse, Key Kâvous.
L’Orchestre symphonique de Téhéran, lors d’une soirée empreinte d’émotion et de grandeur, a transformé la place Azadi en un sanctuaire à la mémoire des martyrs.
En hommage à l’artiste martyre iranienne Mansoureh Alikhani, le centre « Bayt al-Jamal lil-Fonoun » à Bagdad a organisé un symposium artistique avec la participation d’artistes irakiens.
Les prix du meilleur acteur et de la meilleure actrice du Festival Cinema Jove ont été décernés à Hoda Zeinolabedin et Parsa Pirouzfar, interprètes principaux de la série iranienne «Au bout de la nuit», produite par la plateforme Filmnet.
Le film Le Goût de la cerise a été écrit et réalisé par Abbas Kiarostami. Celui-ci a reçu le prix de la Palme d'or pour son film au Festival de Cannes en 1997.
Pour nous, les Iraniens, la patrie a une signification particulière. Quelle que soit notre croyance ou notre conviction, l’Iran est notre dénominateur commun.