À la suite de la guerre de 12 jours entre le régime sioniste et l’Iran, le gouvernement iranien, en collaboration avec le ministère de l’Économie et des Finances, a mis en place une série de mesures pour compenser les pertes, reconstruire les infrastructures et soutenir les citoyens ainsi que les acteurs économiques. Parmi ces mesures, le secteur de l’assurance joue désormais un rôle clé dans la relance économique du pays.

Le gouvernement a priorisé la compensation des dommages subis par les particuliers, les unités de production, les commerçants et les propriétaires immobiliers, en facilitant la mise en place de nouvelles couvertures d’assurance adaptées. La Banque centrale d’Iran a récemment publié une directive autorisant les compagnies d’assurance à proposer des garanties couvrant les pertes liées à la guerre dans plusieurs branches, notamment l’assurance incendie des habitations, l’assurance automobile, l’assurance santé complémentaire, l’assurance responsabilité des opérateurs de transport intérieur, ainsi que l’assurance vie.

Cette directive constitue une avancée importante, car jusqu’à présent, les dommages de guerre étaient souvent exclus des contrats d’assurance. Elle vise à restaurer la confiance et à apaiser les inquiétudes des citoyens en leur offrant une protection financière et psychologique accrue.

Dans le contexte post-conflit, ces couvertures d’assurance sont essentielles pour rétablir la stabilité sociale et économique. Elles permettent aux entreprises, notamment dans les secteurs du transport et de la production, de poursuivre leurs activités sans interruption, évitant ainsi des perturbations majeures dans les chaînes d’approvisionnement et l’économie nationale.

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