
Peinture et miniature d’Achoura encadrées dans « À la hauteur de l’Histoire »
L’exposition achouraïenne « À la hauteur de l’Histoire », composée de 10 récits courts décrivant l'épopée de Kerbala, a été inaugurée.
L’exposition achouraïenne « À la hauteur de l’Histoire », composée de 10 récits courts décrivant l'épopée de Kerbala, a été inaugurée.
La pièce Mangi (L'Étourdissement), écrite et mise en scène par Mohammad Amin Saa'di, a remporté le diplôme d’honneur du Festival international de théâtre régional de Géorgie.
Mahmoud Dowlatabadi, né le 1er août 1940 (10 Mordad 1319 du calendrier iranien), est originaire de Dowlatabad, près de Sabzevar, dans la région du Khorasan.
Morteza Mirmontazemi et Hadi Ahmadi, venant récemment de présenter la pièce Le Corbeau en bois au huitième festival Inspiration en Russie, ont donné des explications sur la représentation de cette œuvre théâtrale dans ce festival.
Il a été décidé de former un groupe de travail commun composé de représentants du Centre de développement intellectuel des enfants et adolescents et de l’Organisation des bibliothèques publiques afin de concevoir et d’assurer le suivi de programmes culturels et éducatifs conjoints, tirant parti des capacités complémentaires des deux institutions.
Le producteur de Radio Iran a annoncé la participation de la pièce radiophonique « Farigis », tirée du Shâhnâmeh de Ferdowsi au Festival international de l’Union de radiodiffusion Asie-Pacifique (ABU).
Une nouvelle exposition photographique de Leila Ebrahimi, intitulée « Les Nuits Blanches », a ouvert ses portes à la galerie en plein air de la Maison des Artistes d’Iran.
La nouvelle saison des représentations de l’opéra de marionnettes Achoura, écrit, conçu et mis en scène par Behrouz Gharib Pour, a débuté dans la soirée du dimanche (13 juillet) au Théâtre Ferdowsi de Téhéran.
Les spectacles rituels en Iran possèdent une longue histoire, mais le récit de Kerbala est une autre affaire : un épisode singulier dont le théâtre iranien a largement tiré parti.
Bahman Kiarostami revient sur son documentaire « Tabâki » : une réflexion sur le « simulacre de la tristesse » dans les rituels chiites.