L’Iran et l’Occident : une relation historique tumultueuse
L'Iran fonde ses relations internationales sur ses intérêts nationaux, privilégiant l'Est sans exclure totalement l'Ouest, selon Larijani, qui dénonce la quête de domination occidentale.
L'Iran fonde ses relations internationales sur ses intérêts nationaux, privilégiant l'Est sans exclure totalement l'Ouest, selon Larijani, qui dénonce la quête de domination occidentale.
L'Iran et la Russie ont franchi une étape significative dans le renforcement de leur partenariat stratégique par la signature d'un accord de coopération scientifique entre leurs principaux centres de recherche en sciences sociales, marquant un engagement commun pour le développement de la connaissance face aux défis géopolitiques.
L’enrichissement est devenu un sujet de fierté et de gloire nationale pour les Iraniens ; nous avons combattu pour cela, et il sera maintenu à tout prix, tout en restant dans un cadre strictement pacifique.
Le ministre iranien des Affaires étrangères a annoncé qu’aucune date précise n’a encore été fixée pour les prochaines négociations avec les États-Unis, mais qu’une annonce pourrait intervenir dans les prochains jours.
Aujourd’hui, le Parlement iranien a approuvé à la majorité le traité de partenariat stratégique global avec la Russie, marquant une étape clé vers un renforcement durable et multidimensionnel des relations bilatérales.
Mohammad Rashidi a annoncé la réception au Parlement du projet de traité de partenariat stratégique global entre l’Iran et la Russie, un accord couvrant 47 articles qui renforce la coopération politique, économique et sécuritaire entre les deux pays.
Le ministre de la Défense en Iran a déclaré : "Un pays qui n’est pas fort ne sera jamais invité à la table des négociations. La puissance défensive est le socle principal des négociations politiques et diplomatiques, et c’est grâce à cette force que la République islamique d’Iran est reconnue par les grandes puissances."
Le guide suprême de l'Iran a déclaré : "Le suivi est plus important que la décision. Nous avons de bonnes lois et plans, mais le manque de suivi empêche la réalisation des objectifs. Il faut que les trois pouvoirs fassent de la mise en œuvre du slogan de l’année leur priorité commune."