En intégrant des nanomatériaux, une entreprise iranienne a boosté la durée de vie des plaquettes de frein de 20 000 à 30 000 km, une avancée significative pour l'entretien automobile.
L'Iran met au point un implant crânien révolutionnaire : il se dissout en 2 ans pour devenir de l'os naturel, éliminant les complications des prothèses métalliques traditionnelles.
Un instrument de mesure nanométrique iranien, boosté à l'IA, défie les géants étrangers avec une précision inédite et un prix jusqu'à trois fois moins élevé.
Le président Massoud Pezeshkian a visité le 16e Salon international des nanotechnologies et le premier Salon des technologies de pointe en Iran, soulignant la nécessité d'améliorer la qualité, d'exporter ces produits high-tech et de les utiliser pour renforcer l'équité médicale dans les régions défavorisées.
Lors de la deuxième cérémonie des Prix à l'Exportation des Nanotechnologies, le chef du Comité Iranien des Nanotechnologies a dressé le bilan de deux décennies de développement, marquées par la création de plus de 100 entreprises et des retombées économiques dépassant largement les investissements publics initiaux.
Le documentaire "Rêve Chinois" relate le parcours du Dr Seyed Farshid Chini, professeur à l'Université de Téhéran, dont les travaux ont permis à l'Iran de devenir un pays de référence dans l'établissement de normes internationales en nanotechnologie.
L’Iran surmonte sanctions et défis économiques pour s’imposer comme un leader régional en nanotechnologie, produisant un médicament nano innovant contre le cancer à l’efficacité accrue et aux effets secondaires réduits.
L’entreprise Iran Delco révolutionne la lutte contre la pollution en obtenant le label national nano pour son convertisseur catalytique à nanoparticules de métaux précieux, alliant efficacité écologique et économie de matériaux rares.
Plus de 15 pays, dont les États-Unis, l’Allemagne et la Malaisie, se sont déjà inscrits à la première Olympiade internationale des lycéens en nanotechnologie organisée par l’Iran, un événement qui vise à créer un réseau mondial de jeunes talents scientifiques.
La technologie innovante « laboratoire sur puce », développée par l’université Khajeh Nasir, permet de détecter les cellules cancéreuses en seulement 20 minutes grâce à la combinaison de nanotechnologie et d’intelligence artificielle, offrant un diagnostic rapide et précis pour améliorer le traitement.
