Littérature persane

L’anniversaire de la mort du maître Shahriyar a été inscrit dans le calendrier iranien en tant que Journée nationale de la poésie et de la littérature persane.

Le cyprès occupe une place particulière dans la nature ainsi que dans la culture persane. On le retrouve sur les bas-reliefs de Persépolis, dans les jardins iraniens, également dans les œuvres littérraires et sur le tapis persan.

Parmi les ghazals amoureux et engagés de Houshang Ebtehaj, poète majeur de l’époque contemporaine, figure un poème inachevé intitulé Arbaïn : un texte bref mais intense, où, en quelques vers, l’écho du sang de l’Imam Hussein (AS) semble palpiter à travers les veines de l’Histoire.

Ses yeux est un roman de Bozorg Alavi, écrivain, traducteur et homme politique iranien. Cet ouvrage est paru en 1952 et a tout de suite attiré l'attention du public.

Simorgh est un oiseau légendaire dans la culture persane. Il aide les héros dans le Livre des Rois. En plus, l'oiseau incarne la vérité absolue dans l'œuvre mystique d'Attar Nichapur.

Leyli et Majnoun est un recueil de poème, écrit par Nézami au XIIe siècle. C'est une histoire d'amour qui trouve son origine dans la littérature folklorique arabe.

Le Chogan est un jeu collectif qui date de l'époque achéménide. Il n'était pas seulement un sport mais aussi un moyen d'éducation militaire et un art spectaculaire.

Rostam est un héros très connu dans le Livre des Rois de Ferdowsi. Sa naissance ainsi que sa vie furent pleines d’épreuves. L’une de ses épreuves les plus célèbres fut le Haft Khân, dans lequel Rostam doit franchir sept étapes dangereuses afin de sauver le roi de Perse, Key Kâvous.

Attar Neyshaburi est un poète et un mystique iranien dont les œuvres, telles que "La Conférence des Oiseaux", reflètent la profondeur spirituelle et la sagesse du soufisme. Ses écrits continuent d'inspirer les lecteurs à travers les siècles.