Les dirigeants européens, après avoir consenti de lourds sacrifices financiers et militaires, doivent désormais supplier Washington pour accéder aux accords secrets conclus entre Trump et Poutine, illustrant l’extrême dépendance et la vulnérabilité de l’Alliance nord-atlantique face à l’imprévisibilité américaine.
Trump a affirmé que les capacités nucléaires iraniennes avaient été totalement détruites lors des frappes précédentes, tout en déclarant que l’Iran « ne se comporte pas bien » et que le pays pourrait recommencer son programme ailleurs malgré ces destructions.
Après une procédure de près de deux ans, la Cour internationale de Téhéran a condamné le gouvernement américain à verser 48 milliards 860 millions de dollars aux familles des martyrs défenseurs du sanctuaire, soulignant ainsi la lourdeur des préjudices subis et la responsabilité des criminels.
Le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères a fermement démenti toute demande de rencontre avec les États-Unis, contredisant ainsi les affirmations du président Trump.
Aucune date n’a été fixée pour d’éventuelles négociations, et la décision n’a pas encore été prise, a précisé la porte-parole du gouvernement, soulignant la priorité donnée à la gestion de crise et à la solidarité nationale.
L'Iran se réserve désormais, conformément au droit international, son droit légitime et entier de se défendre contre l'agression flagrante des États-Unis et du régime sioniste.
Le Guide suprême a déclaré que la promesse de Trump d’utiliser la puissance américaine pour la paix est un mensonge, soulignant que l’histoire prouve que la force n’a jamais apporté la paix mais plutôt la guerre et l’instabilité.
Trump tente de présenter l’Iran comme un facteur d’insécurité, mais qui a tué 60 000 personnes à Gaza ? La politique de pression maximale a déjà échoué, et la communauté internationale doit voir où se trouvent les vraies responsabilités.