Le directeur de la cinquième raffinerie du complexe gazier de South Pars a annoncé que le partenariat avec des entreprises de haute technologie (« knowledge-based ») et des fabricants nationaux a atteint 100 % cette année. Cette réalisation marque une étape importante dans l'autonomie technologique de l'industrie gazière iranienne.
L’enrichissement de l’uranium est la clé qui permet à Bouchehr de produire une électricité stable et propre, tout en assurant à l’Iran sa souveraineté technologique et son indépendance énergétique face aux pressions internationales.
Les mêmes actions qui ont détruit les programmes nucléaires irakien et syrien ont, face à l’Iran, au contraire accéléré la progression scientifique et renforcé la détermination nationale, révélant l’échec de la doctrine Begin.
Les lasers CO2 développés en Iran, puissants et économiques, illustrent la maîtrise locale d’une technologie nucléaire avancée aux multiples applications industrielles, médicales et militaires.
L’Organisation de l’énergie atomique d’Iran a conçu un système de mesure de la poussée à l’échelle du micronewton, une avancée stratégique pour le développement de propulseurs électriques destinés aux petits satellites et aux constellations, ouvrant la voie à une plus grande autonomie technologique dans le secteur spatial.
Les radio-isotopes permettent une détection non destructive et extrêmement précise des fuites dans les réservoirs sous pression, offrant ainsi un outil essentiel pour la sécurité et la pérennité des installations industrielles.
L’Iran prévoit de lancer des constellations satellitaires dans les domaines de la communication, de l’observation et de la navigation, en renforçant la coopération internationale pour développer ses capacités spatiales.
Nahid-2, satellite de télécommunications prêt à être lancé, est doté d’un système de propulsion capable de corriger son altitude jusqu’à 50 kilomètres, garantissant ainsi cinq ans de stabilité et d’efficacité en orbite pour les communications iraniennes.
