Suite à l’agression brutale du régime sioniste contre l’Iran, marquée par l’assassinat de plusieurs hauts commandants militaires et scientifiques nucléaires ainsi que des actes de sabotage dans diverses régions, il est apparu clairement que ce régime comptait sur des traîtres et des agents infiltrés pour mener à bien ses crimes. Les services de renseignement iraniens ont rapidement réagi en diffusant des communiqués et en formant la population à reconnaître ces individus et leurs cachettes, encourageant les citoyens à signaler toute information via différents canaux.

Cette mobilisation a permis la découverte et l’arrestation rapide de nombreux saboteurs. Le chef du pouvoir judiciaire, Hojjatoleslam Mohseni Ejei, a averti fermement que toute personne collaborant avec les ennemis, en particulier avec le régime sioniste, sera jugée et punie sans aucune clémence, et ce dans les plus brefs délais, conformément aux lois en vigueur, notamment dans le contexte de guerre.

Depuis le début de cette agression, un poste de commandement spécial a été créé au parquet de Téhéran, où les agents du renseignement, sous la direction des autorités judiciaires, ont identifié plusieurs éléments liés aux services terroristes israéliens. Dans quinze dossiers distincts, vingt-huit suspects ont été présentés à la justice. Parmi ces affaires, une en particulier révèle la coopération étendue de quatre accusés avec les services de renseignement et militaires israéliens, notamment via la création d’un centre d’entraînement clandestin pour drones, la maintenance de drones de reconnaissance et suicides, ainsi que la formation à leur pilotage et à la planification d’opérations.

La population attend désormais que ces traîtres soient jugés rapidement et sévèrement, conformément aux ordres du chef du pouvoir judiciaire, en parallèle avec la riposte militaire efficace des forces armées iraniennes contre les agressions du régime sioniste.

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