Lors d’une rencontre récente entre le vice-président iranien chargé de la science, de la technologie et de l’économie fondée sur la connaissance et le président de l’Organisation de l’énergie atomique d’Iran, un accent particulier a été mis sur le développement des collaborations dans les domaines des technologies de pointe, notamment la physique quantique, les lasers et le plasma froid. Cette réunion s’inscrit dans la continuité d’accords précédemment signés entre les deux entités, visant à exploiter au mieux les capacités scientifiques et technologiques nationales pour stimuler l’innovation et répondre aux défis environnementaux majeurs.

Mohammad Eslami, président de l’Organisation de l’énergie atomique, a souligné que cette coopération conjointe pourrait engendrer des avancées significatives, notamment dans la résolution des problèmes environnementaux des grandes villes iraniennes, en s’appuyant sur les technologies émergentes. Le vice-président Hossein Afshin a insisté sur la nécessité d’atteindre des résultats concrets dans des délais courts, afin que ces efforts se traduisent rapidement par des bénéfices tangibles pour la société iranienne.

Parmi les axes prioritaires, la technologie quantique a été identifiée comme un domaine clé nécessitant le développement d’infrastructures et de capacités partagées, permettant aux chercheurs, universitaires et étudiants d’accéder à des ressources avancées. Le domaine des lasers, déjà en phase de démarrage, doit bénéficier d’un soutien renforcé pour accélérer les progrès. Le plasma froid, quant à lui, est présenté comme une technologie innovante aux applications prometteuses, notamment dans le traitement des déchets urbains et industriels, contribuant ainsi à atténuer les défis environnementaux.

Cette collaboration illustre la volonté iranienne d’intégrer les technologies de pointe dans une stratégie globale de développement durable, en combinant recherche scientifique, innovation technologique et protection de l’environnement.