Une série de sessions de recherche et d’analyse, adoptant une approche interdisciplinaire sur des sujets tels que l’historiographie de l’art, la sociologie de l’art et les études de genre, se tiendra au Musée d’art contemporain de Téhéran de la mi-août à la fin septembre.

Selon le service des relations internationales du Musée d’art contemporain de Téhéran, ces sessions aborderont des thématiques variées, telles que l’historiographie de l’art, la sociologie de l’art, l’économie de l’art et les études féminines. Elles seront organisées par le musée à partir de la mi-août jusqu’à la fin septembre.

La première session, intitulée « Et au commencement, c’était difficile… », se tiendra le mardi 5 août à 17h dans la salle de conférences du musée. Elle portera sur les premières empreintes laissées par les femmes dans l’art moderne iranien.

Lors de cette rencontre, le parcours de ces artistes à partir des années 1940 sera examiné par deux chercheurs en histoire de l’art contemporain iranien, Hassan Morizi-Nejad et Mehrnoush Ali-Madadi. Ils traiteront des défis et obstacles rencontrés par les femmes artistes à leurs débuts, de l’importance de l’enseignement artistique dans les facultés des beaux-arts et les écoles d’art, de l’expérience migratoire, ainsi que du rôle des institutions et des réseaux artistiques en Iran.

L’exposition « D’après les femmes », consacrée au récit des femmes artistes modernistes iraniennes, offre aux chercheurs et étudiants en art, en sciences sociales et humaines l’opportunité d’examiner plus en profondeur le rôle des femmes artistes, ainsi que les dimensions esthétiques, sociales et culturelles de leurs œuvres.

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