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Le ministre iranien des Affaires étrangères oppose un "accord équilibré" aux diktats américains, tout en lançant un avertissement clair : "Nous sommes encore plus prêts pour la guerre que la dernière fois". Une posture qui s'appuie sur des missiles améliorés et le soutien russe pour dissuader toute nouvelle attaque.
Le chef de l'AIEA dresse un bilan contrasté : l'Iran ne cherche pas la bombe, mais avance à grands pas dans le domaine nucléaire. Alors que les sabotages ont causé des dégâts "significatifs", Téhéran maîtrise les technologies pour les surmonter, alimentant les interrogations sur l'objectif final de son programme.
La mission iranienne à l'ONU a retourné l'accusation contre le Canada avec virulence : "C'est vous, avec votre histoire de tombes autochtones, qui devriez être jugés !". Une réplique qui dénonce une instrumentalisation géopolitique des droits humains par un "gang de délinquants".
L'Iran a officialisé la mort de l'accord du Caire avec l'AIEA, en représailles à une résolution "illégale" poussée par les Occidentaux. Téhéran retire ainsi un maillon clé de la coopération technique, durcissant encore sa position dans la crise nucléaire.
En visite au Qatar et au Pakistan, le vice-ministre iranien des Affaires étrangères a réaffirmé une priorité : le renforcement des liens avec tous les voisins. Des discussions "utiles" et "constructives" ont confirmé cette politique incontournable, visant à approfondir la coopération bilatérale et à consolider la stabilité régionale.
Lors d'un sommet à Rasht, le ministre iranien des Affaires étrangères a élevé la mer Caspienne au rang d'enjeu vital, au même titre que le golfe Persique. Il a annoncé le renforcement des coopérations économique, environnementale et politique avec tous les pays riverains, dont la Russie, pour faire de cette région un pôle de développement…
Téhéran se pose en capitale de la résistance juridique internationale. Lors d'une conférence dédiée, l'Iran a affirmé que le droit international, bien que "sous attaque", reste vivant. Le pays a juré de ne pas cesser son combat jusqu'à "la réalisation pleine de la justice", défiant ainsi l'unilatéralisme de ses adversaires.
Suite à l'aveu du président américain, l'Iran exige officiellement que Washington paie des réparations pour les attaques de 2025, invoquant le droit international et menaçant de poursuites.
À la veille du 55e anniversaire de leurs relations, la Chine propose à l'Iran de 'marcher main dans la main' pour élever leur partenariat stratégique à un niveau supérieur, renforçant ainsi l'axe Téhéran-Pékin.
Les ambassadeurs d'Iran, de Russie et de Chine affirment leur rôle décisif sur le nucléaire iranien lors d'une rencontre clé avec le chef de l'AIEA avant la réunion du Conseil des gouverneurs.
