Explorez le cinéma iranien, reconnu dans le monde entier pour sa profondeur artistique et sa vision poétique. Retrouvez des critiques de films, des portraits de réalisateurs, des entretiens exclusifs et les dernières actualités du septième art en Iran.
Entre les rochers, réalisé par Mokhtar Abdollahi et produit par Mohammad Ahmadi, avec la participation d’enfants de Lordegan, s’est rendu en Turquie pour concourir avec les autres œuvres sélectionnées au Festival du film d’Istanbul.
Nous sommes immergés dans la narration depuis notre naissance jusqu'à notre mort. Même avant d'acquérir la compétence du dialogue et du langage, nos parents, surtout notre mère, nous plongent dans le récit. Même les jeux d'enfants sont une forme de narration.
Le film Dans les bras de l’arbre a remporté le prix du meilleur long métrage au Muslim International Film Festival.
Le court-métrage « Rouge », réalisé par Shahou Ahmadi, a été sélectionné en compétition officielle dans plusieurs festivals internationaux en Pologne, Espagne, Afrique du Sud et Allemagne.
La production du documentaire Narkis, un récit humain et inspirant sur la vie d’une jeune fille aveugle à l’âme poétique, s’est achevée à l’occasion de la Journée mondiale des personnes aveugles (Journée de la canne blanche).
Le court-métrage Cache-cache a été sélectionné pour participer au World Film Festival in Cannes en France et a atteint la finale dans la catégorie du meilleur film de ce prestigieux festival.
Le court métrage « Punition », réalisé par Pouya Mofid, participe au Festival international du film pour enfants et adolescents de Charjah, avant de poursuivre son parcours dans deux festivals américains.
Le 10 octobre 1971 (18 Mehr 1350 selon le calendrier iranien), le regretté Ezzatollah Entezami remporta le Hugo d’argent du meilleur acteur au Festival de Chicago pour son rôle dans le film La Vache (Gāv).
Le court métrage d’animation Fleurs de papier, a été sélectionné en compétition officielle à la 37ᵉ édition du Festival du film de Gérone (Espagne).
Enivré par l'amour porte un message universel, et l’accueil du public iranien a montré que les spectateurs sont sensibles aux œuvres cinématographiques inspirées de la littérature.
