Dans une démarche visant à dénoncer les actes de violence contre les médias, perpétrés par le régime sioniste, un groupe de journalistes étrangers issus de plusieurs pays se rendra prochainement à Téhéran.
Le livre « Vâli », illustré par Somayeh Mohammadi et écrit par Marjan Zarifi, a récemment remporté le prix du « meilleur livre illustré » lors de l’exposition internationale « Image of the Book » à Moscou.
Le ministre égyptien des Affaires étrangères a réaffirmé qu’aucune solution militaire n’était envisageable pour la question nucléaire iranienne, appelant à la relance du dialogue et à la consolidation du cessez-le-feu entre l’Iran et Israël.
Le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères a présenté ses condoléances aux familles irakiennes endeuillées par l’incendie du centre commercial d’al-Kout, réaffirmant la solidarité de l’Iran avec son voisin et proposant son aide pour les opérations de secours.
Taha n’avait que le temps d’être inscrit à l’école avant que la frappe ne lui ôte la vie ; ce jour-là, il devenait officiellement élève, mais la guerre en a décidé autrement, privant une génération d’Iran de son avenir.
Dès samedi, la mairie de Téhéran lancera la reconstruction des logements sinistrés avec l’appui de partenaires privés et l’engagement d’architectes volontaires, selon un nouveau modèle participatif visant à redonner espoir aux habitants touchés par la guerre.
L’exposition collective « Téhéran » en mémoire de Téhéran et de ses habitants disparus, sera inaugurée le vendredi 18 juillet à la galerie Artibition.
La privation du droit de résidence pour des centaines d’Iraniens aux États-Unis, simplement en raison de leur nationalité ou de leur religion, constitue une discrimination raciale systématique et viole les normes internationales les plus fondamentales.
Ce séminaire international à Vienne se propose de revisiter l’identité et la richesse historique de la civilisation irano-islamique, et d’ouvrir de nouveaux champs de recherche sur son rôle dans le dialogue entre tradition et modernité.
La création de la première ‘urgence nomade’ nationale à Dasht-e Lar marque un tournant pour l’accès aux soins des populations nomades, alliant base médicale fixe et hélisurface pour des interventions plus rapides et adaptées.