La mise en place de couvertures d’assurance incluant les dommages de guerre constitue un pas décisif pour restaurer la confiance et la sécurité financière des citoyens dans la période post-conflit.
En douze jours, 1,3 million de tonnes de marchandises essentielles ont été dédouanées, assurant l’approvisionnement du pays et la stabilité du marché malgré la guerre.
La guerre de 12 jours a imposé à Israël un coût journalier extrêmement élevé, forçant le régime à accepter un cessez-le-feu face à la capacité iranienne de prolonger et d’épuiser le conflit.
L’annonce d’un cessez-le-feu entre l’Iran et Israël a apporté un optimisme prudent chez les producteurs de thé indien, après une chute des prix causée par la crise au Moyen-Orient.
Le vice-ministre de l'Industrie a souligné que la bonne gestion de l'approvisionnement en biens essentiels durant les douze jours de guerre a permis au pays de surmonter les problèmes grâce à la collaboration avec les syndicats.
Adapter les normes iraniennes aux standards internationaux, c’est ouvrir les portes du monde aux produits iraniens et dynamiser l’économie nationale. Grâce à une meilleure coordination et à des infrastructures modernisées, l’Iran peut transformer ses défis en opportunités et s’imposer sur les marchés mondiaux.
L’accord d’assurance conjoint entre l’Iran et la Russie sécurise le corridor stratégique Nord-Sud, réduit les risques liés aux sanctions et renforce la confiance des investisseurs, marquant une avancée majeure vers une indépendance économique régionale.
La visite du ministre ouzbek des Transports au port de Shahid Rajaee marque une étape clé dans la relance des corridors de transit entre l’Iran et l’Ouzbékistan, ouvrant la voie à une coopération logistique accrue et à la dynamisation du commerce régional.
Mohammad Bagher Ghalibaf a insisté sur la nécessité de lever rapidement les obstacles administratifs pour accélérer la coopération économique entre l’Iran et le Venezuela, soulignant l’importance stratégique de cette alliance face aux défis mondiaux.
L’Iran a proposé la création d’une banque commune au sein de l’Organisation de coopération de Shanghai, afin de renforcer la coopération monétaire, faciliter les échanges financiers et réduire la dépendance aux institutions occidentales.