Le ministre iranien des Affaires étrangères oppose un « accord équilibré » aux diktats américains, tout en lançant un avertissement clair : « Nous sommes encore plus prêts pour la guerre que la dernière fois ». Une posture qui s’appuie sur des missiles améliorés et le soutien russe pour dissuader toute nouvelle attaque.
Le chef de l’AIEA dresse un bilan contrasté : l’Iran ne cherche pas la bombe, mais avance à grands pas dans le domaine nucléaire. Alors que les sabotages ont causé des dégâts « significatifs », Téhéran maîtrise les technologies pour les surmonter, alimentant les interrogations sur l’objectif final de son programme.
Face à l’embargo, une PME iranienne a redonné vie à la flotte pétrolière nationale en concevant un système de refroidissement d’antenne radar, auparavant fourni par la Norvège. Non seulement la pièce est reproduite, mais ses défauts originels sont corrigés : une victoire technologique qui sécurise une liaison maritime vitale.
Face aux eaux chaudes et salées du Golfe, l’Iran a trouvé la solution : un probiotique « sur mesure » pour ses crevettes. Développé à partir de souches locales ultra-résistantes, ce produit 100% national booste la survie et la croissance des crustacés, offrant une alternative supérieure aux importations devenues inaccessibles.
L’Iran vise les 6 milliards d’euros de revenus dans le tourisme médical, mais un obstacle de taille se dresse : les intermédiaires opaques. Pour y parvenir, le pays lance une cure de transparence, avec une plateforme nationale et un branding offensif, afin de transformer son expertise médicale d’exception en une véritable puissance économique.
Le film Les Mémoires du funambule, écrit et réalisé par Hamed Radjabi et produit par Samira et Rouhollah Baradari, a remporté le prix Seri Suriya lors de la cinquième édition du Festival de Rojava.
Le film Le Renard sous la lune rose de Mehrdad Oskouei, sélectionné dans la compétition internationale de l’IDFA, et Le Passé, futur continu de Morteza Ahmadvand et Firouzeh Khosrovani, présenté dans la section « Envision », ont été désignés meilleurs films.
L’exposition de peintures « Rokh-e Nafis » est une collection de portraits réalisés par Nafiseh Radjabi, proposant une recréation des visages de grandes figures de la culture et de l’art iranien.
Le film « Lapin noir, lapin blanc », réalisé par Shahram Mokri, sera invité dans plusieurs festivals internationaux au mois d’Azar (novembre–décembre).
La délégation de la Chambre de commerce, d’industrie, des mines et de l’agriculture d’Iran est arrivée à Kaboul pour participer à la quatrième exposition de l’industrie et du commerce d’Afghanistan.
L’Iran a honoré 300 Martyrs Inconnus de la guerre Iran-Irak, transformant l’hommage en une démonstration de force unificatrice. Les autorités y voient la preuve que l’esprit de résistance sacrée, de la « première » à la « seconde » défense, reste vivant et dicte sa loi aux adversaires du pays.
De la poésie de Rûmî aux mots persans du français moderne : un voyage à travers les siècles pour comprendre comment une langue a façonné des civilisations entières.
Entre souveraineté, diplomatie et sécurité régionale : décrypter les dimensions politiques et médiatiques du programme nucléaire iranien.
Comment les médias façonnent-ils l’image de l’Iran ? Un débat entre journalistes, chercheurs et acteurs du dialogue interculturel.
Le cinéma iranien entre art, résistance et liberté d’expression : une rencontre pour comprendre les regards croisés sur l’Iran à travers le septième art.