
Le président iranien a récemment critiqué avec force l’attitude de certains pays occidentaux qui, tout en se présentant comme les défenseurs des droits humains et du progrès civilisationnel, sont responsables de la mort de civils innocents par l’usage de bombes et de missiles. Il a souligné le paradoxe de ces nations qui, malgré leurs discours sur la paix, la liberté et les droits de l’homme, participent activement à des conflits meurtriers, enterrant sous les décombres des populations sans défense.
Cette dénonciation vise à mettre en lumière ce que le président perçoit comme une profonde contradiction entre les valeurs affichées par ces États et leurs actions concrètes sur la scène internationale. Selon lui, il est inacceptable que ceux qui prétendent incarner la civilisation et le respect de la dignité humaine soient à l’origine de tant de souffrances et de destructions, tout en continuant à se présenter comme des modèles de justice et de droits humains. Ce discours s’inscrit dans une critique plus large de l’ordre international actuel, où la notion de droits humains est parfois instrumentalisée à des fins politiques, et où les puissances dominantes échappent souvent à toute remise en cause pour leurs propres actes de violence.
Le président iranien appelle ainsi à une prise de conscience collective et à une remise en question du double standard qui prévaut dans les relations internationales. Il invite les sociétés à regarder au-delà des discours officiels et à exiger une véritable cohérence entre les principes proclamés et les pratiques réelles, afin que la paix, la liberté et les droits humains ne soient plus de simples slogans, mais des engagements concrets respectés par tous.